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Le Lac d’Eugénie : un bel accueil critique

« L’atmosphère est fantasmagorique : des pierres, des maisons, un lac, une cité, des hommes. Sylvain « avance à pleine bouche » et nous suivons le rêve, bercés d’orgue, de violoncelle… Embarquez-vous en pleine poésie avec cet opus, dans la nef des fous qui perdent la raison (et la raison) sans jamais sombrer dans le morose, pour un voyage initiatique entêtant auprès des égarés, disparus, et nous encore vivants mais en plein déchirement. La gare Saint-Jean n’a rien à envier à l’Orly de Brel, sur le même thème de la séparation du voyage, lancinante, cruelle. L’écriture est passionnée, incandescente, irrésistible. » – Annie Claire – Magazine FrancoFans de la chanson française – N°51, janvier 2015
« Une poésie pure portée par une voix qui joue sur les sensibilités, claire et puissante, singulière, ancrée dans une terre, héritée des plus grands de la chanson française. (…). On y retrouve cette même atmosphère où se mêlent les influences musicales du folk et du trad. Des chansons qu’on écoute les yeux fermés pour s’en imprégner, qui touchent forcément le cœur et l’âme. » – Catherine L’hostis – Revue Transversales – Mars 2015
Le CD reçoit le BRAVO de Trad Magazine :
« Un nouveau disque de Sylvain GirO est toujours une bonne surprise. Mais pour son deuxième album solo, Sylvain passe au-dessus de tout ce qu’on pouvait imaginer. A l’écoute de ce disque on comprend mieux sa démarche artistique et son univers qui va du fantastique au rêve éveillé, en passant par la douleur, la tendresse, toujours avec une grande humanité. La voix de Sylvain nous caresse avec des mots simples qui nous vont droit au cœur, avec une énergie et une force qui nous collent au mur. Les arrangements limpides ne font pas qu’accompagner le chanteur. Ils mettent en valeur le texte et la voix. L’ensemble est cohérent et évident. L’ombre de Jim Morrison est perceptible dans cette balade autour du Lac d’Eugénie. » – Gérard Viel, Trad Magazine, février 2015
« Avec une diction claire, une voix chaleureuse et des textes poétiques, Sylvain GirO nous entraîne dans un univers magique, celui du lac d’Eugénie, son troisième album. Ses musiciens tissent le décor et lui nous chante des histoires envoûtantes. Un enregistrement très équilibré mettant en valeur la voix dans ses nuances les plus fines et restituant les timbres des instruments avec un grand réalisme, sur une scène sonore limpide et aérée. » – Yves Marzio – HIFI VIDEO magazine – janvier 2015
C’est surprenant comme la convergence et les influences d’un folk breton contemporain, du rock des 70’s , voire du free-jazz, engendre une bande-son qui évoque l’héroïc fantasy. Il est vrai que le disque est la partie musicale d’un spectacle où le conte fait contrepoint à ces chansons. Ici, celles-ci l’évoquent et déploient leur dimension imaginaire, conjonction des mots et des sons. Le climat est souvent grave, parfois pesant mais toujours riche des timbres des claviers vintage, des percus et des voix mêlées du violoncelle et du chanteur. (…) Les promesses du premier album sont tenues ici, renforcées, illustrées par un récit à découvrir à la scène !
Georges Fischer – Tohu-Bohu, février 2015
La voix est toujours là, un instrument à elle seule, avec toujours plus de nuances. Des mélodies bien troussées acheminent des textes qui ne laisseront jamais indifférents, remplis d’images fortes comme dans ce superbe Carré des indigents, où les mots subliment un endroit déserté par les fleurs et les prières. (…) Sylvain GirO fait son bonhomme de chemin et s’installe, mine de rien, au rang des grands chanteurs francophones, tous genres confondus.
Revue Ar Men – Michel Toutous – Mars 2015
Il y a trois ans nous découvrions Sylvain GirO. La révélation c’était d’abord celle de sa voix, singulière, immédiate et puissante ; ensuite celle de l’auteur-compositeur, artisan et artiste de la chanson, tissant et nouant inlassablement mélodies et poèmes. Ne sacrifiant jamais la musique au verbe, l’album offrait des textes épurés et un son original, au carrefour entre rock et musiques traditionnelles. Rejoint par un deuxième opus en 2013 Les camélias de Nantes, l’enregistrement venait frapper les rivages d’une chanson française parfois un peu atone. C’est ainsi avec un immense plaisir que nous avons découvert en fin d’année le nouvel album de Sylvain GirO Le lac d’Eugénie. (…) Si l’écriture demeure intime et incisive, ouvrant des champs à la fois personnels et cinématographiques, où chacun peut cheminer, si l’on y retrouve des réminiscences de phrasé breton dans la voix et une poésie portée par un flux sonore toujours aussi magique, c’est véritablement un nouveau voyage qui nous est proposé, passant d’un folk-rock lyrique et intimiste à des chansons champêtres parfois proches de comptines. (…) Sylvain GirO signe ici un album dont l’intensité dramatique n’a d’égal que la beauté mélodique. Venant prolonger le spectacle créé au début de l’année 2014, Le lac d’Eugénie constitue finalement une réflexion sur l’amour et le temps qui passe, le temps béni et le temps perdu. Porté par une voix claire, profonde et virtuose, ce conte fantastique fait largement appel à notre imaginaire et notre sensibilité. Certains évoqueront Jacques Brel ou Jean-Louis Murat, d’autres Gabriel Yacoub ou Gaëtan Roussel ; d’autres encore Noir Désir. Mais c’est avant tout et désormais du GirO. A suivre ! – Arnaud Roffignon, ENA Hors les murs, février 2015
« GirO confirme son talent, révèle encore davantage le poète et le militant. (…) La musique est plus radicale encore, plus tendue et intense, un peu comme celle qu’invente Rodolphe Burger. (…) Dix morceaux sous tension, une tristesse qui transpire, une violence évoquée, une rage assumée, Sylvain GirO réveille souvent les maux comme pour mieux les conjurer ou les dénoncer. Reste à chacun de réfléchir aux symboliques suggérées. Reste à chacun à se laisser traverser par la force de ces dix odes. » – Cécile Arnoux, revue Place Publique, janvier 2015
« Un nouvel album aventureux, plein d’ambition et de cohérence ! » – Rachid Bara, Ouest-France Nantes, décembre 2014
« Ce disque est exceptionnel, une création subtile et percutante, une réussite en tout point. Tout ici sonne juste, les mots comme les musiques. Une voix qui reste dans les oreilles longtemps après l’écoute. » – Récré’action, revue spécialisée chanson, janvier 2015<
« La voix magnétique de Sylvain GirO possède la force d’un Yacoub ou d’un Cantat. Issues du spectacle Le lac d’Eugénie, ses douze chansons singulières, lyriques, saisissent l’auditeur par leur puissance visuelle et théâtrale. » – Le Télégramme, décembre 2014
« Un album un brin étrange, à la fois pop et folk. Il y a du Gabriel Yacoub dans ses inspirations et ses intonations, ou encore du Dominique A. » – Sélection des albums de l’année, Ouest-France Quimper, décembre 2014
« Dans ces airs d’automne, sur cette terre pelée aux herbes roussies, dans cette petite bruine pernicieuse qui accompagne nos pas, dans ces espaces larges et vides, une impression singulière de chaleur et d’intimité nous fait avancer en souriant. Cet sensation tient en chansons, et dans ces chansons, la voix chaude de GirO est un souffle qui embrase les mots. Un peu comme un Murat d’Auvergne mais plus à l’ouest, et avec une lave nouvelle puisée dans un volcan d’Armorique. Un disque de pierre, de bois, d’espace et de braise, aux danses folk, aux envolées rock, au chant hypnotique. GirO le tour operator et sa marche poétique nous enivre de terre et d’horizon, d’ombres et de lumière, du crépuscule à l’aube sans oublier la nuit, ses nymphes et ses démons. » – Blog « Chroniques de Monsieur l’ouïe »
« Tour à tour folk puis rock, les mélodies de Sylvain GirO nous entraînent dans un monde onirique et poétique, à la limite du fantastique. » – CFDT magazine